13.02.09

"C'EST À MOI QUE VOUS L' AVEZ FAIT"
Novembre 2008
Spécial Jubilé /7
Rénover et Restaurer
"LA FAMILLE"
Chasteté "Conjugale" et Fidélité
MESSAGE DU PERE SEBASTIAN
"Les LMC représentent la Face de Jésus parce qu'ils vivent au coeur du monde. Sans porter un habit ou un uniforme particulier, ils doivent manifester Jésus par la vie, par les paroles et par l'exemple: "Fais qu'en me regardant on ne me voit pas mais que l'on ne voit que Toi en moi" (Prière d'action de grâce après la Communion).
Jésus dit à la bienheureuse Teresa: "Dans ton immolation, dans ton amour pour Moi, ils Me verront, Me connaîtront, Me voudront"...
Mère Teresa était heureuse non seulement de rencontrer les LMC dans les différentes parties du monde, mais aussi de leur parler. Elle les exhortait à rester fidèles à l'enseignement de l'Eglise catholique, en les aidant à suivre l'Esprit et le charisme des M.C., comme cela est expliqué dans les Statuts des LMC, pour devenir "humbles comme Marie et saints comme Jésus".
Les voeux doivent aider les laïcs à soutenir et à renforcer le lien du sacrement de mariage. En d'autres termes, le Mouvement des LMC est au service de la famille, qui est "le patrimoine de l'humanité...La famille constitue un des trésors les plus importants de tous les pays. Elle est et a été l'école de la foi, l'école des valeurs humaines et civiles, le foyer dans lequel la vie humaine naît et est accueillie généreusement et avec responsabilité" (Pape Benoît XVI, Sanctuaire de l'Aparecida, Brésil, dimanche 13 mai 2007).
Un des buts principaux du Mouvement des LMC est de travailler au salut et à la restauration des familles chrétiennes, en les aidant à se transformer en sanctuaires domestiques de l'Église.
Les LMC étudient les documents importants du Magistère de l'Eglise, comme les exhortations apostoliques "Familiaris Consortio", "Christfideles laici", et les autres."
Père Sebastian Vazhakala M.C.
MESSAGE DE MERE TERESA
"Chaque dimanche je visite les pauvres dans les bidonvilles de Calcutta. Je ne peux pas les aider, car je n'ai rien, mais j'y vais pour leur donner la joie. La dernière fois une vingtaine de petits attendaient leur "Ma" avec impatience.
Quand ils m'ont vue, ils ont couru à ma rencontre, même en sautillant à cloche-pied. Je suis entrée. Dans ce "para" - c'est comme ça qu'on appelle ici un groupe de maisons - vivaient douze familles.
Chaque famille n'a qu'une seule pièce, de deux mètres de long sur un mètre et demi de large. La porte est tellement étroite que je pouvais à peine entrer, et le plafond tellement bas que je ne pouvais pas me tenir debout...Je ne m'étonne plus à présent que mes pauvres petits aiment tant leur école et qu'ils soient si nombreux à souffrir de la tuberculose. La pauvre mère (de la famille visitée) n'a même pas eu un seul mot pour se plaindre de sa pauvreté.
Cela m'a fait beaucoup de peine, mais en même temps j'ai été très heureuse quand j'ai vu qu'ils étaient heureux de ma visite. A la fin, la mère m'a dit: "Oh, Ma, revenez nous voir! Votre sourire a fait entrer le soleil dans cette maison!"
"Mère Teresa, Viens, sois Ma lumière" page 48