19.01.10
PAPA
Tu nous a quittés
un vendredi 17 janvier,
sur la pointe des pieds.
La dernière fois que je t'avais parlé,
tu m'avais dit :
« Je suis foutu » ! :
Ce n'était pas très gai !
Je t'avais dit d'espérer !
J'aurais aimé te revoir,
juste un soir,
mais je garderai
dans mon cœur
ces instants de bonheur,
le souvenir de ce déjeuner
où nous avons tant ri
malgré la maladie !
Et maintenant, le temps a passé
mais tu es toujours dans mes pensées,
et malgré ton passé chargé,
j'espère que tu as trouvé la sérénité
et que tu connais la vraie VIE
avec Maman réuni !
Pour m'avoir donné la VIE,
à toi, à tous les deux,